Mission N°1!

Nous partimes donc pour le village d'hommes, annoncé par une pancate "Denarion-5 lieues". Après une ou deux heures de marche, la Soleil commenca a se coucher et le Lune monta dans le ciel. Le village était désert, et nous l' avons traversé expressément, car au millieu de ces ruelles, le lieu était parfait pour une embuscade! Après etre sortis du village, Faramir dit:
- Ce calme dans ce village... c'est étrange... il fait presque nuit, allumez les lanternes! Nous sommes tout près de la porte maintenant!

- Votre grandeur, l'armée a été détruite, mais euh ... nous en avons quand même tué, je suis le seul survivant ...
- Survivant, mais non, tu ai mort ! AHAH ( dis-je en l'étraglant)



Voila, poster, je relançai juste le sujet :-(

Nous étions maintenant assez près de La Montagne, déjà nous sentions la brulante haleine de Smaug le Terrfiant et beaucoup d'entre nous prirent peur ... nous cherchâmes pendant toute la journée l'entrée de la porte de Durïn et quand Gandalf vint à nous par quelques miracles, il nou dit que la porte avait été détruit il y a plusieurs années; découragés, nous nous reposames toute la nuit. Le Premeir Ete de Durïn allait commencé quand, un soir, moi et Haldir partîmes nous baladé au bords de la montagne ...
Surpris, Haldir me dit :
-"Je vois quelques chose dans les rayons de la lune, je crois qu'elle éclaire quelqu chose ..., aprochons nous, je crois qu'il s'agit d'une autre porte que même Gandalf ne connait pas !"

.... La suite est a vous !

Nous nous y approchâmes et nous esseyâmes de forcer la porte, bien sûr, elle ne souvrait pas, mais jutse une serrure était dessiner dans la roche ...

Haldir!!!

-Permettez, maitre homme, je j'essaye de l'ouvrir?
-bien sur répondit faramir
Je posai ma main sur la paroi et me mis à chercdher un endoit ou appuyer pour débloquer la porte. Malheureuse ment, comme rien ne se passait, je tombai à genoux et posait ma tete contre le mur. Soudainement, j'entendis dans ma tete des paroles! le mur me parlait!

Vers 23 H 00, nous vîmes la lune apparaître, mais la porte ne s’ouvrit pas !
Décidé à attendre, nous restâmes donc ici pour la nuit.

Soudain, un bruit me tira de mauvaises pensées : un buisson d'en bas venait de bouger. Qui était-ce ? Ou Quoi ?

Je sortis mon arc long et je tirai dans le fourré. Du sang noir en sortit : du sang de gobelin ! 9 gobelins sortirent d’un geste brusque et nous sautèrent dessus. Je rangeait mon arc rapidement tout en retirant mon épée longue ... la bataille allait commencé.
Haldir tirait une flèche dans un gobelin si vite que les autres ne comprirent même pas ce qui était arrivé. Deux archers gobelins m'avaient pris pour cibles et commencèrent à me tiré dessus : la 1ère flèche me rata de peu et la deuxième arriva droit sur ma gorge ...
D'un geste digne d'Eru, je fis un geste virile de mon épée et la flèche repartit dans l'autre sens, touchant un gobelin ! Haldir était en plein combat contre 2 gobelins. Il prit son épée et fouetta l'air rapidement; les deux créatures tombèrent sur le sol.
D'une esquive parfaite il sauta sur un gobelin qui fut transpercer ...
Je me jetait tête la première dans la bataille. Les gobelins n'étaient plus que quatre. Deux chacun. Je décidait d'utilisé une vielle technique que Boromir m'avait apprise : " Le cheval cabré" : je faisait un saut périlleux au dessus d'un gobelin, en passant au dessus de lui je lui tranchait la gorge, seul problème : la mare de sang par terre me fit glisser et je me fit transpercer le bras par l'autre gobelin. Criant de douleur je lui tordis le cou de ma main valide. Haldir me redressa et prononça quelques incantations en elfique. Il mit un peu d'eau sur mon bras : la douleur s'estompa.
- Merci, dis-je essouffler.
- Pas de quoi.

Nous décidâmes de fouiller les gobelins,ils avaient :
- 8 lames gobelines
- 2 arcs gobelins et 50 flèches gobelines
- 10 écus
- Une boisson et de la nourriture pourrit
- Un bouclier gobelin

Je pris 5 écus, 25 flèche et le bouclier. Haldir prit le reste.
En passant derrière le buisson, Haldir fut surpris en voyant le dernier gobelin (celui que j'avais touché en 1er) lui sauté dessus, il tomba a terre et lâcha son épée, je lançait mon bouclier sur la gorge du gobelin. Celui-ci l'évita, et mon arme alla se fracasser sur le sol. Le gobelin se lança sur moi, oubliant l'elfe. Je ramassai vivement l'épée d'Haldir en esquivant le gobelin, celui-ci tomba par terre et je me ruait sur le lui pour l'achever. La flèche que j'avais lancée l’avait achevé, il ne l’avait pas enlevé de son corps hideux, et en me fonçant dessus s'était transpercé.

Je le fouillais et trouva un message du seigneur des nazguls qui disait que des chevaucheurs de wargs allait nous attaquer dans trois jours. En entendant cela, Haldir et moi descendîmes la montagne et nous précipitâmes vers le campement. Nous avertîmes tout le monde. Nous allâmes nous coucher en sachant que demain il faudrait retourné la haut...
Après avoir dormit au campement, moi, Haldir et une bande constituée d’Elfes, de Nains et d’Hommes prirent le chemin de La Montagne.

A mi chemin, un nain nommé Fili buta sur un objet par terre. Il s’agissait en fait d’une clé d’argent incrusté de deux joyaux identiques. Fili ramassa la clé et comme la transe par laquelle Haldir était entré, il entendit ces paroles :
« Le seigneur Ténébreux seul la connaît,
Cette clé qui est destinée au nains forgerons,
Constructeurs de Sous La Montagne,
Ainsi ils libèreront un mal ancien
Qui commettra surement un drame,
Le seigneur nain repose en paix,
Mais ces condisciples doivent l’affronter,
Lui qui brave tout danger,
Le cracheur de feu doit être tué,
Ou il tuera les peuples sans pitié. »

Moi et Haldir n’avions raconté à personne les paroles de la porte et nous trouvions que ces histoires étaient en commun. « Mais les Hommes n’étaient pas énoncé dans les deux textes » me dis-je. Peut-être était-ce les « amis » mais cela me semblait bizarre car les Elfes, les Nains et les Hommes avaient déjà dû affronter les Terribles Vers dans le passé. Tout en pensant à cela nous continuâmes à marcher. La clé avait été confiée à Haldir, car c’était lui qui avait été désigné le capitaine de l’équipe.
Nous fîmes halte au midi pour le repas. Des discutions sur la fable était bien sur raconté, mais la plus part ne comprenant pas vraiment.
Tout en mangeant ma soupe de boisson, je racontais à Haldir une blague d’un Nain, d’un Troll … quand soudain, à ma dernière boucher de poisson, j’avalais quelque chose qui failli m’étouffer. L’Elfe me donna un coup de point pour me faire cracher le morceau. Un caillou atterrit dans ma main. Il était bizarre, on aurait dit qu’il y avait … un morceau de parchemin ! Oui ! Je dépliais rapidement le papier, en m’attendant à trouver un autre morceau de l’histoire mystérieuse. J’étais très déçu car il était juste écrit : « Dans la 2ème salle latérale du 1er niveau, tu trouveras ce dont tu as besoin».

Ce bout de parchemin ne me semblait guère utile mais j’en fis part à Haldir. Il me dit d’aller demander à Glork (un nain très vieux qui était rentré auparavant Sous La Montagne). Je suivis donc son conseil et je demandais au Nain où se situait la salle citée sur le bout de papier : elle se trouvait à droite de l’entrée principale. En le remerciant de bon cœur je partis préparer mes affaires, pour reprendre le voyage de l’après-midi. Il n’y eu aucun incident notable pendant le trajet. Arriver près de l’endroit où la bataille des gobelins le soleil commençait à se coucher. Nous décidâmes de camper près de la porte, bien que moi et Haldir étions les seuls à savoir où elle se situait étant donné que nous n’en avions pas parler au autres.

La nuit, je visn vers Brok et je lui en parlais : il fallait qu'un des nains sache ce qui ce passait !
Il me répondit qu'il était très étonné de mes paroles.
Je lui demandait ce qu'il y avait dans la salle du texte. Il me dit que je le découvrirai par moi même.

Le lendemain matin, la troupe pris le chemin de La Montagne... tout le monde était fatigué quand à midi ils atteignirent uen petite plaine, et Haldir, le chef de groupe, décida de faire halte pour manger et de faire une sieste.
Pendant leur sommeil, une vingtaines d'orcs vinrent pour les tuer. Le chef des orcs dit aux autres de leur perçé le coeur en silence et c'est à cet instant que moi et mes deux fidèles compagnons décidèrent de sortirent des fourrées pour attaquer ...

Alors que j'étais en train de poursuivre un groupe d'orcs en me cachant dans les buissons, je vit sortir des fourrés trois personnes qui se dirigeaient vers le groupe d'Haldir, se n'est qu'a ce moment que je vis les orques et je sortis donc aussi, je courrus aussi vite que possible en m'attaquant à trois orcs surpris de me voir, je les décapita et me battit ensuite avec trois autres avec mon batôn j'allais près d'Haldir qui dormait, le secouant afin de le reveiller rapidement et lui dit :"Je suis content de vous avoir trouvé cher ami elfe ! vous courrez un très grand danger venez avec moi vous devez reveillez votre troupe !!"

Haldir me reveilla en m'en donnant des claques ... il me dit que des orcs était en train d'essayez de nous tuer pendant notre sommeil mais que Gandalf et Lorien ainsi que deux de ses acolytes étaient arrivé a temps pour nous aider. Tout m'était confus mais en voyant son visage crispé je compris qu'il fallait agir. Je criais très fort pour reveillé mes hommes. Ceux qui se reveillèrent levèrent lesautres de leur sommeil et ils ceux joignirent à la bataille. Il réstait 15 orcs plus leur chef qui était entouré de ses hommes fidèlent jusqu'a la mort. Gandalf achevat un orc gisant sur le sol quand le chef orc cria à ses hommes des paroles que je ne compris pas car c'était du Noir Parler. En tout cas je le compris très vite car les orcs se jetèrent sur moi ...
Je sortit mon épée, l'enfonçant dans le corps du premier venu, je décidait de me servire du corps comme bouclier, se qui fut très juste car les orcs taladèrent le corps de leur compagnon. Je rejetait le crops sur eux et je vis tout mes hommes se jeter sur les orcs. Quel bataille. Haldir tirait sur les gobelins les nains se jetaient dans la mélé et Olorin soignait les bléssées alliées. Il réstait 9 gobelins quand je sentit la peur arrivé ... Je ne sus pas pourquoi mais j'eu une sorte de visions le corps d'un des compagnons de Lorien étaitétendu mort en dessous du capitaine orc. La vision s'arrêta et je vis l'elfe en pleine bataille avec les trois orcs restés à la garde de leur capitaine. Il fit un enchaînement spectaculaire de figures acrobatiques et je vis les 3 gobelins retombés sur le sol remplit de sang. Il s'attaqua au capitaine ... je décidait de l'aidé car peut-être que ma vision allait être réelle. Je me jetait par derrière l'orc et lui coupa les jambes, il tomba surpris mais toujours près à combattre. Lorien vins l'achever en lui coupant la gorge. A la fin de la bataille le bilan était plus que bon car grâce à Gandalf qui grâce à sa magie avait pu sauver tout le monde, sauf un nain.

Après ce combat nous repartîmes vers la porte. A la fin de la journée nous étions à mi chemin entre notre point de départ et la porte quand les chevaucheurs de wargs nous attaquèrent, il étaient une bonne trentaine. Tous les archers leurs tirèrent dessus 10 orcs et 15wargs tombèrent mort 2 wargs me sautèrent dessus je tuais le premiers mais pas l'orcs et le 2° m'arrachat une partie du ventre je hurla de douleur lorsque faramir vint me secourir : il tua tout mes attaquants et me cachat dans un buissons en attendant de me soigner. Haldir transperça 5 wargs et 10 orcs, l'armée tua tout le reste. Gandalf vint me guerrir et aussi les autre blessés puis nous repartimes pour la porte.

Quand nous vîmes la porte, il faisait nuit et Haldir s'approcha de moi.
- Une armée ennemi nous attend devant la porte, fait-en par à tes hommes, ilfaut contourner la Montagne, il nous faudra toute la nuit pour arriver au passage secret !"
- OK, je vais leur dire.
Nous partîmes donc ensuite vers le passage secret même s'il n'y avait que moi, Haldir et Blork à savoir...

Le lendemain matin nous arrivâmes à la Montagne exténués. Nous dormîmes toute la journée sans attaque notable.
Le lendemain matin moi, Haldir, Lorien et Gandalf nous partîmes en secret par le passage ...

Il faisait sombre dans le passage alors gandalf alluma son bâton, Faramir et moi ambrasèrent des torches. Sur quelque dizaines de mètres, il n'y avait aucune salle. Un escalier à droite et une salle à gauche puis le chemin continuait tout droit ... devant nous se trouvait le trésor de La Montagne et le dragon y reposait. Nous eitegnirent les torches et Gandalf garda sa lumière alumé, juste assez pour voir devant nous.
Nous longâmes le dragon rapidement et sans un murmure. Comme par hipnotisme Faramir se diriga vers une salle latérale à laporte d'entrée, nous comprîmes tous qu'il allait à la salle écrite sur le mot. Nous le suivîmes et nous débouchâmes dans une grande salle. Elle était éclaré d'une torche, qui montrait juste une armure rouge sang et une épée incrusté de diamant. Sur les armes étaient écrit des runes, Gandalf nous les déchiffra, elle voulait dire que l'armure empéchait le feu d'un dragon de la transpercer et disant que l'épée était la seul à pouvoir transperçé la carapace de diamant d'un dragon.